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Le mouvement dans l’art a une histoire qui passe par toutes les grandes ruptures, toutes les mises en crise. Depuis le Futurisme et le Cubisme, en passant par la crise de l’abstraction des années 50 et la culture underground de la décennie suivante, l’ébranlement de l’art se traduit par la tentation de l’activation réelle de ses composantes. Plus encore, le mouvement est l’élément vitalisant et réjouissant de ces crises : favorisant l’imprévu, l’accident, l’association absurde, le mouvement génère le rire. A ce titre, même si elles constituent de vrais déchirements pour notre conception de l’art, les avant-gardes sont joyeuses. On a encore pu penser que plus le rire est sonore, plus l’ébranlement est profond.
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Ne serait ce que ça et cela suffira !